L'industrie agro-alimentaire s'est développée dans un rapport quantitatif, où les industriels cherchent à amoindrie leur coût de production au détriment, souvent, de la qualité.

Malheureusement, d'amont en aval, ces nouvelles méthodes de la chaîne alimentaire, dont les produits finaux sont destinés à la consommation humaine, se sont énormément éloignées de la nature.

Les aliments subissent des transformations considérables où les substances rajoutées sont anti-naturelles et constituent une véritable pollution alimentaire.

Cette pollution alimentaire se distingue en deux points :

-Il y a les additifs alimentaires

-Il y a les produits donnés aux animaux et aux végétaux.

On retrouve dans les additifs alimentaires les colorants, les conservateurs, les émulsifiants, les épaississants, les gélifiants, les stabilisants.

En ce qui concerne la production des végétaux et des élevages d' animaux, elle représente, un cercle vicieux des plus négatifs.

Comment peut-t-on bien se nourrir si les sols eux-mêmes sont pollués ?

Résidus d'azote, résidus de phosphate, nitrates, pesticides, engrais, cuivre, parasites et micro-organismes, gaz d'échappement et pluie acide,déchets ménagers, métaux, plomb, zinc, nickel sont autant de substances nuisibles à nos terres nourricières.

Les scientifiques constatent, par ailleurs, que l'écosystème de nos praires ( fleurs, papillons, etc) s'appauvrissent au fil des décennies.

Il est aussi urgent de dénoncer la honte que constitue les élevages d'animaux pour leur viande.

Cette industrie-là est totalement déplorable.

La souffrance animale y est terriblement cruelle, sans oublier qu'au final, l'humain mangera dans son assiette une viande malade et malsaine, liée directement au mode d'élevage ( animaux nourris de manière anormale, antibiotiques administrés, hormones, stress et adrénaline, etc).

La production des végétaux n'est pas meilleur.

Les fruits et légumes poussent artificiellement sous des serres et sont récoltés, sans que ceux-ci puissent finir leur cycle de croissance.

La conséquence en est que les végétaux sont privés de leurs capacités en vitamines et minéraux.

Article écrit par Aurélie Lescos