Avez-vous déjà remarqué, que lorsque nous entrons, dans une maison, par le simple sens de l'observation, nous apprenons une multitude de détails sur les traits de la personnalité de l'occupant?
Notre lieu d'habitation est un miroir de nous-même.
Parfois, nous investissons un espace, et nous nous y sentons bien. Parfois, c'est l'inverse qui s'y produit, sans trop savoir et comprendre le pourquoi.
C'est pourquoi, il est judicieux et fortuit de prendre soin de son espace intérieur; notre maison est notre refuge, un univers qui doit nous ressource et vivifier.
C'est là qu'entre en jeux le feng shui!
Le feng shui, littéralement, vent et eau en chinois, est un art ancestrale, qui a pour objectif d'harmoniser l'énergie, le fameux "Chi". Le feng shui mène donc à équilibrer les flux énergétiques.
En orient, chaque culture traditionnelle a sa propre dénomination pour exprimer cet art; mais c'est le terme feng shui, qui nous connaissons le mieux en Occident.
Afin d'inviter l'harmonie et l'équilire, dans notre espace, il nous alors s'initier aux bases du feng shui.
C'est ainsi, que je vous propose " le guide feng shui " de Karen Kingston, spécialiste en la matière. Son livre s'est déjà vendu à plus de deux millions d'exemplaires, à travers le monde.
Cet ouvrage nous apprend, pas à pas, à optimiser la circulation énergétique de notre lieu d'habitation.
L'enseignement s'articule en cinq parties:
- Partie 1 = Concept du feng shui et de la purification de l'espace.
- Partie 2 = Méthodes détaillées de purification de l'espace.
- Partie 3 = Consécration de l'espace et du sacré dans les divers aspects de la vie.
- Partie 4 = Élargir sa conscience, se préserver du stress électromagnétiue émanent de sources naturelles ou humaines.
- Partie 5 = L'art de l' habitat selon les principes du feng shui.
Ce livre n'est pas qu'un simple guide d'apprentissage, il nous fait agréablement découvrir, à travers les mots de l'auteur, sa passion, son expérience, son âme.
Karen Kingston partage tout son savoir à notre plus grand plaisir.
Article écrit par Aurélie Lescos.